samedi 30 octobre 2010

Vanités

Vanités
vanite_600.jpg
 
             Hans Holbein le jeune,                                             James Hopkins,               
                    Les ambassadeurs, 1533                                                   Wasted Youth, 2006 (série Vanitas)
 
 
 James Hopkins

Commentaires

les ambassadeurs français et leur belle anamorphose en forme de mort…
Commentaire n°1 posté par TG le 30/10/2010 à 10h59
Je n'ai pas compris...une explication est-elle possible ? Peut-être que d'autres n'ont pas compris non plus et n'osent pas le dire, et puis il y a ceux qui s'en foutent, mais ça on ne saura jamais qui ils sont et on s'en fout aussi.
Donc voilà, j'aimerais savoir...
Je vais peut-être arrêtée là pour ce soir parce que j'ai peut-être poussé le bouchon un peu loin...
(j'aime bien en vrac tout, vraiment tout de ce qu'il y a chez vous _si, si_ le seul problème à résoudre : comment réussir à naviguer facilement, c'est pas gagné...)
Commentaire n°2 posté par Val le 02/11/2010 à 22h13
Contrairement à ce que j'ai répondu à la suite de ton commentaire sur le post "Singularités" je vais  donner des pistes. Tu trouves une bonne repro du tableau en grand format. Tu t'approches de très très près du tableau. Tu regardes la forme du bas, de bas en en haut  en regard "rasant". Cette forme bizarre va se recroqueviller, se raccourcir, tandis qu'elle va prendre une autre forme et que simultanément les personnages, eux, vont se déformer. Et là, une image va apparaître. Je te le fais en 4 temps, progressivement :
Regarde maintenant l'installation photographiée à droite (je détoure la forme) :
Merci pour "j'aime bien en vrac tout". Ca fait plaisir. Par contre "naviguer facilement pose un problème "? Va à droite : calendrier, sommaire, etc. Tout est dans l'ordre.

Commentaire n°3 posté par espace-holbein le 03/11/2010 à 19h45
Quand je disais que j'étais lente... (et je n'avais pas encore lu ce post là) et trop impatiente aussi sans prendre le temps que je n'ai pas.
Mais l'essentiel est là, la tête de mort est là toute crue devant moi. Merci pour cet éclairage.
Pour la navigation, ben ce n'est pas assez user-friendly à mon goût. Et les goûts et les couleurs ça se discute.
Voili
Commentaire n°4 posté par Val le 03/11/2010 à 21h18
 

vendredi 29 octobre 2010

Délire du pouvoir ou lycanthropie ?

    Délire du pouvoir ou lycanthropie ?
staelhe1 600
   
 «Si les augures lui sont défavorables, il convoque les astrolâtres et s'entretient avec eux dans un jargon d'illuminé. Il se sent déjà la cible de cliques liguées contre lui. Le moindre klaxon le fait tressaillir : c'est qu'un coup de Jarnac se trame. Dans ces heures-là, les nerfs à vif, il a toutes les phobies. Il porte des gants blancs pour éviter les souillures, un masque pour ne pas inhaler l'air pollué par autrui. S'il est seul, il vérifie plusieurs fois que les issues sont bien verrouillées. Lui sert-on son dîner, il n'a aucun doute que la viande est avariée, qu'on cherche à lui faire boire le bouillon d'onze heures. Méconnaissable, pantelant, les yeux injectés de sang, il s'allonge par terre, dans une posture fœtale. Des plaques rouges apparaissent sur ses bras, son coup, sa poitrine. Sa peau est enflammée, il se gratte comme un corneau pouilleux. Pris d'étouffement, il se remet debout et ingurgite de l'alcool jusqu'à ce que, complètement ivre, il s'écroule. Le remords l'étreint-il ? Ou a-t-il seulement perdu toute dignité ? Revenu à lui-même, il taillade les meubles, fracasse les miroirs. Pendant des jours, il s'enferme à double tour dans sa chambre. Son entourage, réduit aux hypothèses,  prétend qu'il est atteint de lycanthropie : il marche à quatre pattes, hurle, geint, bondit comme s'il fondait sur une proie. Talonné par le spectre des vieillards qu'il a massacrés, il psalmodie des formules magiques pour en finir avec eux. Il se rencogne dans le coin le plus sombre de la pièce et, la tête entre les mains, glapit des injures contre des assaillants imaginaires. Quand, exténué, il relève le front, c'est pour dégainer son revolver et le décharger sur la horde qu'il voit s'avancer vers lui. Sa chambre est une porcherie : il garde ses gants blancs mais vomit n'importe où. La puanteur emplit l'air de miasmes, et pourtant, il semble ne s'apercevoir de rien, se moquer de tout. Ce laisser-aller annonce un mieux : sans qu'on sache comment, au bout de quelques nuits, il reprend figure humaine, sort de son repaire, prompt à instaurer de nouvelles mesures draconniennes et à faire payer au premier venu son moment de faiblesse.»
   
   
  Linda LÊ,
Cronos,
Christian Bourgois éditeur, 2010, p16-17
   
illustration :  Wilhelm Staehle 


Commentaires

Un tel peut-il être un loup pour l'homme ? Les moutons se posent la question.
Commentaire n°1 posté par Dominique Hasselmann le 29/10/2010 à 10h22
Les thons mous devraient sans doute être des loups.
Commentaire n°2 posté par espace-holbein le 30/10/2010 à 09h10
   
   
   
   
   

jeudi 28 octobre 2010

mercredi 27 octobre 2010

WARHOL (soupe)

WARHOL (soupe)
soupe 500
 
 
 
                          souprce

Commentaires

Si j'étais cynique, je dirais que La soupe est bonne et qu'ils ont probablement put conclure cette affaire, mais comme je ne le suis pas, je ne dirais donc rien. 
Commentaire n°1 posté par TG le 28/10/2010 à 10h19
C'est très amusant... J'espère que Warhol leur a envoyé une oeuvre gratuite !
<a href="http://davidikus.blogspot.com/">http://davidikus.blogspot.com/</a>

Commentaire n°2 posté par Davidikus le 29/10/2010 à 14h24
Pas de nouvelles d'Andy. Mais on sait qu'il aimait beaucoup l'argent donc peu de chances pour Mr William (mais c'est toujours bon de tenter son coup).
Commentaire n°3 posté par espace-holbein le 29/10/2010 à 15h00
Le "however" du dernier paragraphe me laisse perplexe... Une chose est certaine Mr William ne sait pas bien vendre toute sa soupe, ça fait un peu pitié. C'est un peu dommage pour un Product Marketing Manager (et je n'imaginais pas qu'en 1964 ils avaient déjà inventé le concept...)
Commentaire n°4 posté par Val le 02/11/2010 à 21h31
Mr William, je te l'accorde était un peu naïf. Le pauvre. Mais, comme je l'ai dit, il tente un coup. "Impose ta chance, serre ton bonheur, va vers ton risque !" (c'est René Char qui le disait et il avait pas tort, le bougre!)
Commentaire n°5 posté par espace-holbein le 03/11/2010 à 19h18
Je retiens les mots de René Char qui par ailleurs était un grand ami de Nicolas de S. (ça ajoute à l'intérêt qu'on peut y porter)
Commentaire n°6 posté par Val le 03/11/2010 à 20h52
 
 
 
 

mardi 26 octobre 2010

Chats noirs

chatsnoirs 500


Chats noirs
 
 
Casting de chats noirs
 
 
 
 source

Commentaires

Chacun pêche son chat.
Commentaire n°1 posté par Gilbert Pinna le 27/10/2010 à 19h01
Les chats noirs seraient-ils l'apanage des femmes ?
J'attends la photo sur les moutons noirs...
Commentaire n°2 posté par Val le 02/11/2010 à 22h05
Tas remarqué : ya un mec chauve dans le fond (un travelo, sans doute). Instantané de la société américaine d'époque (de chats noirs). Pour les moutons noirs, faut faire un tour en Suisse.
Commentaire n°3 posté par espace-holbein le 03/11/2010 à 19h15
En Suisse, il y a aussi les vaches décornées; c'est un souci à ce que j'ai compris pour la société allémanique des animaux; d'un côté ça permet d'éviter de se faire emapler au coin d'une rue suisse (pourtant je croyais qu'il n'y avait que des jaguars), mais de l'autre c'est cruel... c'est un vrai dilemne suisse...
Commentaire n°4 posté par Val le 03/11/2010 à 20h50
 
 
 
 
 

lundi 25 octobre 2010

dimanche 24 octobre 2010

Regard de vent

Regard de vent
cligner.gif
 
 
  source

Commentaires

Joli(e).
Commentaire n°1 posté par Dominique Hasselmann le 25/10/2010 à 09h37
Mon éventail
est vivant.
Commentaire n°2 posté par PhA le 25/10/2010 à 09h55
Délicieux
Commentaire n°3 posté par espace-holbein le 25/10/2010 à 15h57
Je préfère les mouettes de Nicolas de S.
(j'ai l'esprit de contradiction ce soir... désolé)
Commentaire n°4 posté par Val le 02/11/2010 à 21h33
Chacun son truc. he, he...
Commentaire n°5 posté par espace-holbein le 03/11/2010 à 19h13
 
 
 

samedi 23 octobre 2010

Largo

Largo
neige
 

  Largo

 
 
. illustration : source
 
. Jean-Sebastien BACH,
  concerto pour piano N°5 en Fa mineur, BWV 1056, Largo
  Murray Perahia

Commentaires

L'immense immensité du monde immense.
Commentaire n°1 posté par Gilbert Pinna le 24/10/2010 à 11h13
Mon regard est perdu. Éperdument.
Commentaire n°2 posté par espace-holbein le 24/10/2010 à 22h47
Merci
Commentaire n°3 posté par NMC le 26/10/2010 à 00h42
:-)
Commentaire n°4 posté par espace-holbein le 26/10/2010 à 11h18
Heu, on est censé écouter avec ses yeux ???? (ou bien ici on a le même phénomène que dans les picines des centrales nucléaires, la vitesse du son dans l'image est supérieure à la vitesse du son dans l'air, ce qui expliquerait qu'on n'entend rien. Et pour les piscines des centrales nucléaires, c'est la vitesse de la lumière évidemment... association d'idées foireuses)
Commentaire n°5 posté par Val le 02/11/2010 à 21h37
C'est beau "écouter avec les yeux": t'es un(e) poéte, je te dis. Bon,peut-être que ton ordi, il marche pas bien ou tas pas téléchargé (ou remis à jour) le petit programme qui permet d'écouter Bach avec les oreilles. Je te jure ça marche et c'est beau,vachement beau. Tu mets tes yeux dans les étoiles qui défilent de gauche à droite, régulièrement, sans interruption, et t'écoutes le largo. Ca peut te rendre heureuse. Moi, en tout cas oui. Bach : toujours, éperdument. Et pas besoin de piscines de centrales nucléaires (ça fout plutôt les jetons).
Commentaire n°6 posté par espace-holbein le 03/11/2010 à 19h12
J'ai réussi... à sentir le goût du lait de mon biberon. J'ai été élevée à Bach et à Mozart, ce qui ne m'a pas empêché de prendre un virage à 180° le jour où Tuxedomoon est apparu.
Mais Bach émerveille toujours.
Commentaire n°7 posté par Val le 03/11/2010 à 22h02
 
 
 

mardi 19 octobre 2010

Les oiseaux noirs

Les oiseaux noirs
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 mardi 19 octobre 2010
 
 
 Les oiseaux noirs embarrassent le ciel.

Commentaires

Il y a toujours une part de magie dans certaines manifestations : vous avez su la saisir, en l'occurrence (si c'est bien vous l'auteur de la photo) !
Commentaire n°1 posté par Dominique Hasselmann le 20/10/2010 à 18h10
Je suis plutôt adepte du "copyleft", mais c'est bien moi l'auteur de cette photo.
Commentaire n°2 posté par espace-holbein le 20/10/2010 à 20h23
 
 
 

lundi 18 octobre 2010

Tu me troubles

   Tu me troubles
tumetroubles 600
 

  Io amai sempre

 
 
 




.illustration :



  visage de Gena Rowlands extrait du film de John CASSAVETES,  
  Faces, 1968

  (photogramme)
  




.Sylvestro GANASSI (Venise, 1540)
  Adrian Willaert,


  Io amai sempre


  interprètes :

  Marianne Muller, viole,
  Pierre Boragno, flûte à bec,
  Massimo Moscardo, luth et guitare,
  François Saint-Yves, orgue et clavecin

Commentaires

Haha, il ne me reste plus qu'à rencontrer Pierre et Massimo, et le compte y sera! Troublant! ;-)
Commentaire n°1 posté par zoédeszibelines le 18/10/2010 à 22h52
Allez, tu as deux cordes de plus maintenant.
;-)
Commentaire n°2 posté par espace-holbein le 19/10/2010 à 09h40
Je dirais même plus : 3 cordes de plus!
C'est une basse de viole à 7 cordes...
Commentaire n°3 posté par zoédeszibelines le 19/10/2010 à 12h53
Carrément !
Commentaire n°4 posté par espace-holbein le 19/10/2010 à 18h49
Cassavetes, un prince en son genre et en sa ville.
Commentaire n°5 posté par Dominique Hasselmann le 20/10/2010 à 18h11
Cassavetes, with love.
Commentaire n°6 posté par espace-holbein le 22/10/2010 à 22h04



 

samedi 16 octobre 2010

Ciel nettement plus tourmenté

Ciel nettement plus tourmenté
ciel-tourment 600
 
  samedi 16octobre 2010


Commentaires

Effectivement
Plus de dorure du rouge…
Mais ce rouge paraît bien orange… on a dut y mettre du d'jaune's…
Commentaire n°1 posté par TG le 17/10/2010 à 18h34
Qu'on le masque encore un peu plus et c'est la vie en rose.
Commentaire n°2 posté par PhA le 17/10/2010 à 22h26
Encore un bleu qui ne tient pas ses promesses.
Commentaire n°3 posté par Gilbert Pinna le 18/10/2010 à 18h27
Le ciel bleu teinté de gris , zébré de rouge, passe au noir. Violemment.
Commentaire n°4 posté par espace-holbein le 18/10/2010 à 18h53
Le bleu du ciel se passe de nos services.
....Tout ce bleu, en nous, est une lumière qui brûle, qui attend son jour, qui le chasse à cor et à cri, qui creuse, qui trace, qui détecte, corrrompue, sans doute, et vite empiégée, déçue et décevante, mais nous n'en avons pas d'autres, pas de plus intime, il faut s'y plier, il n'est pas de chant pur, pas de parole qui ne rhabille de bleu notre misère.
J.M. Maulpoix
C'était ma note optimiste de ce soir illustrée par la superbe prose de JM.Maulpoix
Commentaire n°5 posté par Val le 02/11/2010 à 22h02
C'est vrai : le bleu est hors service. Mais c'est beau ta poésie...
Commentaire n°6 posté par espace-holbein le 03/11/2010 à 19h06
 
 
 

mardi 12 octobre 2010

Un morceau de ciel bleu

Un morceau de ciel bleu
ciel 600
 
 mardi 12 octobre 2010

Commentaires

... pour soi tout seul. Une vie en or !
Commentaire n°1 posté par PhA le 13/10/2010 à 17h45
Sous l'or du pavé parisien, la plage ?
Commentaire n°2 posté par espace-holbein le 13/10/2010 à 19h13
Beau bleu, avec un zeste de dorure…
Commentaire n°3 posté par TG le 14/10/2010 à 08h31
Bleu acier
Bleu ardoise


Bleu azur

Bleu barbeau


Bleu bleuet


Bleu canard


Bleu céleste


Bleu cérule


Bleu céruléen


Bleu charrette


Bleu charron


Bleu ciel


Bleu de cobalt

Bleu d'Anvers


Bleu de Berlin


Bleu de France


Bleu de minuit


Bleu de Prusse

Bleu des mers du sud


Commentaire n°4 posté par Cécile le 15/10/2010 à 14h56
Bleus de l'âme...
Commentaire n°5 posté par espace-holbein le 15/10/2010 à 18h48
( Ce morceau me fait penser aux mouvements de caméra de Godard dans le Mépris... ciel, mer, sentiment du mépris,  tous espaces indiscernables ).
Commentaire n°6 posté par Gilbert Pinna le 15/10/2010 à 19h14
«Tu le trouves joli mon bleu ?»
GOD-art
Commentaire n°7 posté par espace-holbein" le 16/10/2010 à 09h36
:-)
Commentaire n°8 posté par Gilbert Pinna le 16/10/2010 à 09h50
Le génie a toujours surplombé (depuis 1830) -- et protégé ? -- les manifestants de la Bastille auxquels il donne des ailes dans l'azur.
Commentaire n°9 posté par Dominique Hasselmann le 16/10/2010 à 12h16
Ils auront encore besoin d'ailes, je crois.
Commentaire n°10 posté par espace-holbein le 16/10/2010 à 19h52
 
 
 

dimanche 10 octobre 2010

Et le corps cherra

Et le corps cherra
Baghriche-saut_300.jpg Muresan 300
   
Fayçal Baghriche,  
Le saut dans le vide, 2004
photographie, 45x65cm
Ciprian Muresan,
Leap into the void - after three seconds, 2004,  photographie, 177,8 x119,9 cm
   
  source source  
   
   

Commentaires

La chute sans le corps.
Commentaire n°1 posté par PhA le 11/10/2010 à 11h16
(c'est ce qu'on dit)
Commentaire n°2 posté par espace-holbein le 12/10/2010 à 11h10
La flaque.
Commentaire n°3 posté par Gilbert Pinna le 12/10/2010 à 17h34
Corps flasque.
Commentaire n°4 posté par espace-holbein le 13/10/2010 à 08h41
Prendre la clef des champs...
Commentaire n°5 posté par myriam le 13/10/2010 à 09h06
...en sautant du toit.
Commentaire n°6 posté par espace-holbein le 13/10/2010 à 12h56
   

samedi 9 octobre 2010

mercredi 6 octobre 2010

Blind

  Blind
sander10-1 600
 

  Unlighted

 
sander10-2 600
 
 
 
 




.illustration :

  Blind, August SANDER

 

  source

.Senking
  Unlighted (Pong)


Commentaires

"Qu'est-ce que tu vois ?"
Commentaire n°1 posté par PhA le 09/10/2010 à 21h48
Elongation des sens, je nous vois : six mains, trois cerveaux, une intention commune, commune mais forte ; enfin, j'essaie.
Commentaire n°2 posté par espace-holbein le 10/10/2010 à 12h53
  



 

mardi 5 octobre 2010

Sarabande

  Sarabande
hubbuch1 600
 

  Sarabande

 
 
 




.illustration :


 Karl HUBBUCH
  Lissy im Cafe, 1930

 

 


.Jean-Sébastien BACH
  Suite pour violoncelle No. 5 In C Minor, BWV 1011 — Sarabande

   interprétation : Anner BYLSMA  

Commentaires

Et dans le froid, le grand sourire qui fend.
Commentaire n°1 posté par Gilbert Pinna le 05/10/2010 à 19h28